On the road again

Trivia : une recherche Google pour "on the road again" m'a sortit tout plein d'images sans aucun rapport, dont celle-ci. Étrangement, j'avais le même cadre quand j'étais petit : un prix gagné dans un jeu à Old Orchard Beach (sauf que moi il était écrit "Ghostrider" sur l'image). 

Du coup, la nostalgie m'a emportée dans son élan et je vous partage ce brin de tranche de vie.

Heeeeeeeey salut ! Ça fait un bail que je n’ai pas écrit pour le blogue. En tout cas, moi ça m’a paru une éternité. C’est que la petite famille a déménagé en juin (je suis maintenant un douche de Losertown, qui s’occupe de son bronzage orange et qui lave à la ose une cour asphaltée sur laquelle trône une Civic montée racing), alors mon temps libre dédié au hobby était plutôt restreint. Pour ne pas dire à l’agonie. Sans compter que ti-pout #2 arrive d’ici quelques jours), alors la frénésie déménagement + rénos se transforme rapidement en frénésie préparation pour l’arrivée de bébé.

Ouais, je cours vite de même.

Ça fait un drôle d’été, mais bon, c’est le fun !

Malgré tout, on reste fidèle à ses habitudes d’acheteur compulsif et de hobbyiste fini. Alors quand un jeu qu’on surveille du coin de l’œil depuis des années finit par décoller comme une fusée, on l’attrape au passage !

Vers l’Infinity !

Cet été restera marqué dans les annales de l’Empire (en tout cas, dans mon livre à  moi au minimum). Il aura vu l’achat de ma première maison, la naissance de mon fils et...l’avènement du jeu Infinity à Montréal.

Il faut s’entendre, les figurines sont disponibles depuis longtemps dans certaines boutiques et plusieurs joueurs possèdent secrètement une collection, mais le jeu lui-même ne voulait pas décoller.

J’avais essayé le jeu dans sa première édition avec Tonio et bien que le système m’ait plus, il a laissé de glace mon partenaire du crime. Me retrouvant seul dans ma bulle, j’avais mis ce jeu de côté. Sauf qu’Infinity vit présentement son "Golden Age" dans la région métropolitaine. Les nouveaux joueurs afflux et il serait stupide pour moi de laisser passer une si belle occasion de jeter par la fenêtre tout cet argent (si durement gagné) qui me brûle les doigts.

À l’époque, la faction Nomads m’avait accroché par le look des figurines disponibles. Plusieurs nouveaux modèles sont sortis depuis lors et la qualité des sculpts a considérablement augmentée (j’avais aimé le look dodu du TAG Szalamandra, mais les nouveaux TAG sont vraiment mieux sculptés).

 

 Salamandre dodue

Le choix fut difficile car j’y vais d’abord pour le look et plusieurs figurines me font de l’œil parmi différentes factions. Néanmoins, encore aujourd’hui ce sont les Nomads qui remportent la palme à mes yeux. Surtout les modèles de la liste sectorielle de Bakunin. En particulier, des modèles comme ceux-ci :

Tout comme le légendaire Arnold qui nous avait prévenus de son retour tel un messie des temps modernes, le jeu Infinity s’est refait une place de choix dans mes priorités peinture (genre, au top de la liste). Les premiers modèles sont présentement sur la table à subir une mise en couleur, les autres attendent bien patiemment leur tour sur leur bouchon de liège.